20090210

Elizabeth de Geoges de Saint Val répond au reflet d'une paire d'yeux dans le miroire aux émotions fortes

Vous m'entrainez en terrain glissant. Vous y pentrates a rebours. Je vous écris en trompe l'oeil: comme vous, ne rien dire pour être sûre d'être bien lue. Vous me parlez de souffle, et je me décompose. Comme vous pourtant j'ai le culte abondamment fourni. A l'heure où je vous écris il y a tant de personnes en moi. Là d'où je suis, où je vous vois, je revenais. Pourtant si vous saviez trouver les mots plutôt que de prétendre les avoir oubliés, j'accepterais de me retourner. Et alors de devenir cette autoroute par laquelle vous passeriez tous.

PS: qui rit est à moitié sous les draps roses

PS': sinon tant pis, vous ne tiendriez certainement pas la distance

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