20090127

Elizabeth de Geoges de Saint Val répond à Stanislas Worjinckzy de la Hoya

Vous m'entrainez en terrain glissant. Vous y pénétrâtes a rebours. Je vous écris en trompe l'œil: comme vous, ne rien dire pour être sûre d'être bien lue. Vous me parlez de souffle, et je me décompose. Comme vous pourtant j'ai le culte abondamment fourni. A l'heure où je vous écris il y a tant de personnes en moi. Là d'où je suis, où je vous vois, je revenais. Pourtant si vous saviez trouver les mots plutôt que de prétendre les avoir oubliés, j'accepterais de me retourner. Et alors de devenir cette autoroute par laquelle vous passeriez tous.

PS: qui rit est à moitié sous les draps roses
PS': sinon le colifichet a une forme convexe

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